La pandémie actuelle pourrait contribuer à l’accroissement de la vulnérabilité des ménages en réduisant leur pouvoir d’achat et leur capacité de garantir les droits à l’éducation, à la santé, au développement et à un environnement protecteur.

Cette étude trouve sa justification dans l’information au sein des ménages :

• L’accès et la circulation de l’information sur la COVID-19 au sein des ménages,
• La réceptivité des messages de prévention et leur adaptabilité au sein des ménages,
• Les stratégies de sécurisation et anticipation des chocs (les mesures prises pour éviter la contamination, l’approvisionnement en denrées alimentaires, produits antiseptiques et médicaments, éducation et occupation des enfants).

Son but consiste à définir l’espace de vie en contexte de la COVID-19 comme : La reconfiguration/régulation des espaces familiaux/habitat pour des usages divers, (télétravail, cours à distance pour les enfants, coexistence de plusieurs générations dans les ménages de grande taille).

La restriction des espaces de sociabilité (visites, évènements religieux, familiaux, participation à la vie communautaire) et l’usage/rôle des réseaux sociaux, Les relations intergénérationnelles, de couple, relations parents/enfants et les relations avec les milieux d’origine.
Les répercussions sur les ménages polygamiques (résidences multiples, par exemple en période de confinement), Les besoins en protection sociale et autres aides.